Du soir, montent des feux et des points de silence
Qui vont s'élargissant, et la lune s'avance
Et la mer se déchire, infiniment brisée
Par des rochers qui prirent des prénoms affolés
Et puis, plus loin, des chiens, des chants de repentance
Et quelques pas de deux et quelques pas de danse
Et la nuit est soumise et l'alizé se brise
Aux Marquises
Commentaires
1. Le mercredi 1 juillet 2009 à 21:21, par Ni
2. Le vendredi 3 juillet 2009 à 11:42, par chambrun
3. Le vendredi 3 juillet 2009 à 22:16, par ré
4. Le lundi 6 juillet 2009 à 20:35, par Ni
5. Le lundi 6 juillet 2009 à 21:20, par ré
6. Le lundi 6 juillet 2009 à 23:02, par Ni
7. Le lundi 6 juillet 2009 à 23:05, par elVélo
8. Le lundi 6 juillet 2009 à 23:25, par Ni
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